Test de la Yamaha Tracer 9 GT+ 2025

Les pneus mordent avidement l'asphalte, le trois-cylindres chante sa mélodie distinctive et, tandis que je m'incline dans le prochain virage, la boîte automatique gère le changement de vitesse toute seule. Ce n'est pas de la science-fiction – c'est la nouvelle Yamaha Tracer 9 GT+ 2025 qui me porte à travers les montagnes slovènes. Une moto si bourrée de technologie qu'elle ferait pâlir d'envie un vaisseau spatial – mais qui marie son intelligence à la véritable sensation de la moto. Comme un professeur qui résout des formules complexes le jour et secoue sa crinière en headbangant le soir.

Monter pour la première fois sur la nouvelle Tracer 9 GT+ ne vous fera pas immédiatement crier de joie. Avec un poids prêt à rouler de 232 kilos et plus d'informations à l'écran qu'un cockpit, la première impression est celle du respect. Pourtant, ce qui semble être une surcharge technologique s'avère être la porte d'entrée vers une nouvelle dimension de la conduite moto. La boîte automatique Y-AMT semble d'abord étrangère. Les mains cherchent le levier d’embrayage, le pied tâte la pédale de changement de vitesse. Mais après seulement quelques kilomètres, un moment d’illumination se produit. La Tracer change les vitesses pour moi, me permettant de me concentrer sur l'essentiel : enchaîner les virages.

"Avec cette moto, je me sentirais comme un gladiateur avant le combat", dirais-je normalement – mais cette fois, je me sens plutôt comme un chef d'orchestre dirigeant son orchestre par de simples gestes. L'ordinateur choisit le bon rapport avec une précision à couper le souffle – ce n'est que lors de manœuvres de dépassement spontanées que j'interviens avec mon pouce gauche pour rétrograder manuellement et obtenir plus de punch à bas régime. Cette intelligence numérique offre un nouveau sentiment de liberté – paradoxalement, en éliminant la tâche de changer de vitesse. Après plus de 100 kilomètres de test approfondi, j'ai fini par me familiariser complètement avec le système et commencer à comprendre et apprécier ses subtilités. Pour les 250 kilomètres restants de la journée, je faisais déjà corps avec la moto.

En remontant dix ans en arrière – je me souviens encore de la première Tracer, une machine sauvage à mi-chemin entre supermotard et moto de tourisme – il est difficile de croire ce que Yamaha a accompli ici. "Une bête bien élevée", me chuchote le vent alors que je glisse à vitesse de croisière sur l'autoroute. La face avant imposante avec ses éléments aérodynamiques étudiés, la position de conduite confortable et le moteur puissant évoquent immédiatement le sentiment d'une vraie machine à voyager. Pourtant, ce n'est que la moitié de la vérité. Car dès que la route se rétrécit et que les virages s’enchaînent, la Tracer 9 GT+ dévoile son côté ludique.

Il est fascinant de constater avec quelle légèreté cette moto de luxe entièrement équipée négocie les virages. La transformation du caractère sportif sauvage en un sport-tourer hautement développé est le chef-d'œuvre de Yamaha. La Tracer 9 GT+ est comme un adulte mûr qui n'a jamais perdu sa joie de jouer juvénile. Grâce et agilité se fondent en une harmonie parfaite. Je ressens le haut degré de maturité de ce concept dans chaque détail – l'angle de braquage est suffisamment large, les pieds ne butent nulle part, on s'intègre parfaitement à la machine, et les commandes sont exactement où elles devraient être. Un ensemble homogène et fonctionnel de haute qualité, bénéficiant de plus d'une décennie d'expérience en développement.

Le trois-cylindres CP3 de 890 cm³ délivre 119 ch (87,5 kW) à 10 000 tr/min et 93 Nm à 7 000 tr/min. Pas des chiffres brutaux, mais amplement suffisants pour parcourir le paysage avec un large sourire. Ce qui distingue ce moteur, ce n'est pas la puissance brute, mais la manière dont elle est délivrée par la boîte Y-AMT. Contrairement aux moteurs conventionnels, il n'y a pas une montée d'adrénaline au passage des rapports, mais une accélération fluide et continue. Un progrès tranquille mais assuré, particulièrement adapté aux longues distances. Le moteur rugit non pas de façon bruyante, mais avec autorité – ce son inimitable de trois-cylindres, semblable à un mélange de turbine high-tech et de tonnerre.

Pour les amateurs de sensations fortes, cela peut sembler un peu trop docile au départ, mais ceux qui ont atteint un certain degré de maturité (et je ne parle pas seulement de l'âge) apprécieront l'élégance de cette délivrance de puissance. Et si l'envie vous prend d'appuyer vraiment : le mode manuel est toujours disponible, permettant à la Tracer 9 GT+ d'explorer ses aspects les plus sauvages. Au bout du guidon, je ressens de légères vibrations – typiques d'un trois-cylindres, mais jamais gênantes. Elles rappellent simplement qu'il y a une entité dynamique sous vous, et non une machine sans âme.

Avec des composants KYB et une gestion électronique, Yamaha mise sur une configuration de châssis éprouvée, désormais encore plus intelligente. La suspension semi-active offre deux réglages de base (A1 pour le sport, A2 pour le confort) ainsi que deux profils personnalisables via l'application MyRide. Ce qui m'impressionne vraiment, c'est l'intégration de tous les systèmes électroniques. Lors des changements de vitesse, l'amortissement s'ajuste temporairement pour minimiser les réactions aux transferts de charge. Résultat : la Tracer maintient son équilibre, que l'on accélère, ralentisse ou change de vitesse. Comme un danseur de ballet qui ne perd jamais l'équilibre, même lors des sauts les plus complexes.

Cependant, sur un terrain accidenté, la suspension atteint ses limites. Les chocs sont sensiblement transmis, et la réactivité face aux irrégularités soudaines pourrait être améliorée. Malgré tout, la suspension reste à un niveau élevé, qui n'a rien à envier à la concurrence plus coûteuse. Le réglage de la précharge est efficacement résolu : Yamaha a opté pour une molette facilement accessible au lieu d'un système électronique. Un compromis judicieux qui allège la moto, la rend moins complexe et plus abordable. Les motards expérimentés l'apprécieront. En termes de stabilité, équilibre et maniabilité, la Tracer 9 GT+ est très bien ajustée – les pilotes sportifs l'adoreront pour sa précision, tandis que les voyageurs apprécieront la stabilité souveraine même à haute vitesse et avec des bagages. Personnellement, j'ai testé la moto chargée jusqu'à 160 km/h. Cependant, certains pilotes du groupe ont ressenti de légères oscillations à 180 km/h. Je suis curieux de voir ce que la stricte communauté allemande en pensera. Les autoroutes allemandes ont déjà mis nombre de machines de voyage à l'épreuve.

Dans certains domaines d'équipement, la Tracer 9 GT+ 2025 a atteint un niveau technologique époustouflant, surpassant même des rivales affichant un prix 10 000 euros plus élevé. Le système d'éclairage Matrix-LED, avec ses 20 LED commandables individuellement, s'adapte continuellement aux conditions de conduite grâce à une caméra intégrée – une prouesse technique impressionnante qui offre un véritable avantage. La répartition de la lumière s'ajuste dynamiquement selon la situation, assurant un éclairage optimal dans les virages et abaissant automatiquement le faisceau pour les véhicules venant en sens inverse, sans compromettre la visibilité du pilote. C'est comme un assistant vigilant qui vous fournit le bon éclairage au bon moment, sans que vous ayez à bouger le petit doigt.

Le régulateur de vitesse adaptatif basé sur radar séduit également au quotidien. Il maintient avec précision la distance avec le véhicule précédent, garantissant une croisière relaxante sur l'autoroute. Toutefois, lors de manœuvres de dépassement mouvementées ou de nombreux changements de voie, il peut parfois sembler perdu – un simple arrêt permet alors de profiter de nouveau du contrôle manuel. Dès que la situation se calme, il redevient l'accompagnateur électronique idéal. Yamaha précise que la Tracer 9 GT+ n'a pas de freinage automatique, mais en mode régulateur, elle ralentit bien d'elle-même si le frein moteur ne suffit pas. Un système de sécurité qui soutient sans être intrusif – exactement à mon goût. Le système d'alerte d'angle mort, réalisé par un radar supplémentaire à l'arrière, améliore encore la sécurité en avertissant des véhicules dans l'angle mort.

La position de conduite est bien équilibrée entre le confort de tourisme et le contrôle sportif. Pour les motards mesurant jusqu'à 1,85 m, tout est parfaitement ajusté – les pilotes plus grands pourraient éventuellement rencontrer des limites. Le nouveau pare-brise réglable électriquement offre une protection nettement meilleure que le modèle précédent et ne génère plus de turbulences désagréables, même pour les grands pilotes – un progrès considérable. Avec ses 100 mm de réglage, chaque pilote peut trouver sa position idéale, offrant une protection optimale contre le vent et les intempéries, sans créer de turbulences gênantes.

En ce qui concerne la selle, Yamaha a cherché un compromis entre confort et faible hauteur d'assise. Si cela convient parfaitement aux petits pilotes, pour les plus grands, la selle étroite pourrait poser problème lors de longs trajets. Au bout d'environ deux heures, on souhaite plus de liberté de mouvement et une assise plus ferme. Malheureusement, Yamaha s'inscrit dans la tradition de nombreux fabricants qui installent des selles trop molles et peu soutenantes. Un changement de selle pourrait être un investissement judicieux pour les vrais adeptes de longues distances. Le passager, en revanche, peut se réjouir : un espace généreux, des poignées solides et la possibilité d'ajouter un topcase comme dossier rendent l'assise arrière très confortable.

Les valises sont parfaitement intégrées dans le design aérodynamique et offrent suffisamment de place pour un grand casque intégral. Bien que leur forme ne soit pas classiquement rectangulaire, elles s'avèrent très pratiques pour une utilisation quotidienne. Un gros plus pour les amateurs d'esthétique : les valises élégantes ne déforment pas l'allure du véhicule et s'intègrent harmonieusement à la silhouette générale de la moto.

Un écran TFT central de 7 pouces avec trois agencements différents remplace l'ancienne interface encombrante. La commande se fait désormais via un joystick intuitif au lieu de la molette critiquée – une amélioration notable. La navigation par Garmin est désormais incluse gratuitement à vie, ce qui était un point de critique fréquent sur le modèle précédent. La fermeture centralisée pour les valises et le système sans clé Smart-Key sont d'autres détails confortables qui facilitent le quotidien.

Le contrôle de traction et l'ABS fonctionnent de manière si intelligente qu'on ne ressent jamais de sensation de contrainte, même dans une conduite sportive. Le filet de sécurité est présent, mais il reste discrètement en arrière-plan – comme un bon garde du corps qui n'intervient que lorsqu'il est vraiment nécessaire. Cependant, pour les pilotes très sportifs, les cosses sur les repose-pieds touchent un peu tôt. Cela limite la sportivité de manière purement mécanique, avant même que l'ABS ou le contrôle de traction n'interviennent.

Lors de l'essai de la Tracer 9 GT+ à travers les routes de montagne variées de Slovénie, d'Italie et d'Autriche, choisir le bon équipement était crucial. La veste SPIDI Mission-V s'est avérée aussi bien pensée techniquement que la moto d'essai elle-même. Avec son concept modulaire – comprenant une veste extérieure imperméable en hard-shell et une couche de protection séparée avec des protections de niveau 2 – elle offre en plus un confort de port appréciable dans des conditions exigeantes. La manière dont la veste maintient une bonne ventilation grâce à ses ouvertures placées stratégiquement, bien que relativement petites, est également impressionnante. Le pantalon SPIDI Charged Tex associé et les gants SPIDI X-GT complètent la tenue – offrant un ajustement de première classe, un confort exceptionnel et une flexibilité pratique qui empêche toute fatigue, même après des heures de conduite. À noter, le pantalon n'est pas étanche. J'avais donc une surpantalon avec moi. Plus d'infos sur la veste ici :

https://1000ps.to/spidi-mission-v-h2out-jacke

Le modèle précédent présentait quelques points de critique que Yamaha a spécifiquement améliorés avec la version 2025 :

• La disposition asymétrique des phares, souvent critiquée comme "semblant défectueuse", appartient désormais au passé.
• La nouvelle technologie Matrix-LED assure une esthétique frontale symétrique et distincte.
• La molette critiquée a été remplacée par un joystick intuitif, et la navigation dans les menus est nettement améliorée.
• Le pare-brise est désormais réglable électriquement et offre une meilleure protection contre les turbulences. Le pare-brise paraît maintenant plus stable et de meilleure qualité.
• La navigation est désormais gratuite, au lieu d'un modèle par abonnement.
• La béquille centrale est maintenant de série.
• Le quickshifter fonctionne désormais de manière beaucoup plus harmonieuse avec le YMT que la solution précédente.

Après une journée de test intensif à travers les cols montagneux slovènes, les autoroutes italiennes et les routes de campagne autrichiennes, mon verdict est clair : la Yamaha Tracer 9 GT+ 2025 est une œuvre d'ingénierie fascinante, conçue pour les motards exigeants qui apprécient la technologie moderne sans nécessairement vouloir 150 chevaux.

Ceux qui envisagent l'achat d'une Yamaha Tracer 9 GT+ devraient également jeter un œil aux concurrents pertinents du segment sport-touring. Les modèles Boxer de BMW offrent un moteur boxer au couple généreux avec transmission par cardan. Bien qu'ils soient plus chers et plus lourds, ils adoptent une philosophie différente : moins ludique, mais encore plus souveraine sur les longues distances. La KTM Super Duke GT, avec son moteur V2 brutal, pose un accent nettement plus agressif, adaptée aux pilotes en quête d'adrénaline prêts à sacrifier un peu de confort.

La Ducati Multistrada V2 S a également été redéveloppée en 2025. Elle est plus légère, mais propose moins de technologie et de fonctionnalités. La Kawasaki Versys 1000 SE pourrait constituer une alternative intéressante. Bien que son moteur quatre cylindres ait un caractère différent de celui du trois-cylindres de la Tracer, il offre un confort de suspension réglable électroniquement et une solide dotation pour le voyage. Cependant, elle est esthétiquement moins élégante et moins dynamique dans les virages serrés. Sur longues distances, la Versys semble encore plus confortable.

La Yamaha Tracer 9 GT+ 2025 démontre de manière impressionnante comment la technologie peut être utilisée judicieusement pour rendre le tourisme plus simple, plus sûr et en même temps plus excitant. Pour les grands rouleurs expérimentés, les amateurs de technologie et tous ceux qui recherchent une moto bien pensée avec style, système et substance, elle est une véritable révélation.

• Moteur : trois-cylindres de 890 cm³, refroidi par liquide, 119 ch (87,5 kW)
• Vitesse maximale : 218 km/h
• Prix : 19 249 € (Allemagne) TTC, 21 199 € (Autriche)
• Disponibilité : à partir de juin 2025

Quelle est l'autonomie de la Yamaha Tracer 9 GT+ avec un plein d'essence ?

Avec son réservoir de 19 litres et une consommation déclarée de 5,0 l/100 km, la Tracer 9 GT+ atteint environ 380 kilomètres dans des conditions idéales. Sur l'autoroute ou en conduite sportive, l'autonomie se réduit à environ 300 kilomètres. En conduite modérée sur route, 400 kilomètres sont tout à fait envisageables.

Quelles étaient les faiblesses typiques de la Yamaha Tracer 9 GT+ ?

Les années-modèles précédentes (jusqu’en 2024) présentaient des faiblesses au niveau du quickshifter, de la protection contre le vent, du confort de la selle et de la navigation dans les menus. Les matériaux sensibles aux intempéries et la signature lumineuse asymétrique ont également été critiqués. Avec le modèle 2025, Yamaha a corrigé bon nombre de ces points : nouvelle forme de selle, Matrix-LED avec éclairage bilatéral, commande du TFT améliorée et béquille centrale de série sont de claires améliorations.

Comment la Yamaha Tracer 9 GT+ se compare-t-elle à la concurrence ?

Comparée à des modèles comme la Kawasaki Ninja H2 SX SE ou la Ducati Multistrada V4 S, la Tracer 9 GT+ offre une intégration systémique inégalée. La combinaison du Y-AMT, de l'ACC et du châssis KYB est particulièrement remarquable. En termes de puissance moteur, elle est plus modeste, mais elle se rattrape par sa légèreté, son efficacité et un rapport qualité-prix attractif.

Quelles aides électroniques à la conduite propose la Yamaha Tracer 9 GT+ ?

La Tracer 9 GT+ dispose d'une IMU à 6 axes avec contrôle de traction dépendant de l'angle d'inclinaison, Slide Control, Wheelie Control et ABS en virage. Parmi les autres points forts figurent le système de freinage unifié basé sur radar (UBS), le Vehicle Hold Control (VHC), l'alerte de collision avant, la détection d'angle mort, ainsi que des modes de conduite configurables via l'application MyRide.

Quelles modifications techniques ont été apportées au modèle 2025 par rapport à son prédécesseur ?

L'année-modèle 2025 propose une nouvelle selle, un verrouillage centralisé des valises, une commande du TFT par joystick, une béquille centrale de série, un éclairage en courbe amélioré grâce au Matrix-LED, ainsi qu'une intégration du radar de recul et de la détection d'angle mort. La suspension a aussi été améliorée en détail, le confort rehaussé, et le GPS Garmin est désormais gratuit de façon permanente.

Quelles couleurs/variantes de couleurs sont disponibles pour la Yamaha Tracer 9 GT+ 2025 ?

La Tracer 9 GT+ 2025 est disponible en deux couleurs : le Cobalt Blue élégant et l'Icon Performance sportif. Les deux variantes disposent de peintures haut de gamme à cinq couches et de graphismes incrustés.

Quelle est la capacité de chargement maximale de la Yamaha Tracer 9 GT+ ?

La capacité de charge maximale est de 193 kilogrammes.

Quel est le confort de la Yamaha Tracer 9 GT+ sur de longues distances ?

Le confort sur longue distance de la Tracer 9 GT+ est élevé. La suspension électronique s'adapte dynamiquement, la transmission soulage des passages de vitesse, et le pare-brise protège efficacement. Cependant, la selle est un peu molle à la longue.

La Yamaha Tracer 9 GT+ convient-elle aux grands ou aux petits pilotes ?

Grâce à sa taille fine et une hauteur de selle de 820–835 mm, la Tracer 9 GT+ est facilement maîtrisable par les pilotes de petite taille. Les pilotes mesurant jusqu'à environ 1,85 m apprécieront une bonne ergonomie. À partir d'environ 1,90 m, l'espace pour les genoux peut sembler un peu limité.

L'investissement dans le modèle 2025 par rapport au modèle précédent vaut-il la peine ?

Absolument. Les améliorations du système d'éclairage, de la commande, du confort de la selle, de l'électronique et de l'harmonisation globale sont nettement perceptibles. Ceux qui attachent de l'importance à une moto de tourisme high-tech harmonieusement intégrée obtiendront en 2025 une mise à jour mûre et pratique avec une véritable valeur ajoutée.

Quelle est la fiabilité de la Yamaha Tracer 9 GT+ ?

D'après les retours et les tests de longue durée des modèles précédents, la Tracer 9 GT+ est considérée comme très fiable. Le moteur CP3 est éprouvé et robuste, l'électronique est restée stable même après plus de 10 000 kilomètres. La nouvelle transmission par chaîne DID est également réputée particulièrement nécessitant peu d'entretien et durable.

Quels accessoires sont les plus souvent achetés pour la Yamaha Tracer 9 GT+ ?

Parmi les accessoires les plus populaires se trouvent le topcase optionnel de 45 litres avec intégration Smartkey et la selle chauffante pour conducteur.

Quel est le poids de la Yamaha Tracer 9 GT+ prête à rouler (avec réservoir plein) ?

En état prêt à rouler, la Yamaha Tracer 9 GT+ pèse 232 kilogrammes. Ce poids inclut tous les systèmes électroniques, le système de valises de série et les fluides d'exploitation.

Quels avantages offre la Yamaha Tracer 9 GT+ par rapport à la concurrence ?

La Tracer 9 GT+ offre une intégration exceptionnellement complète de la technologie moderne : ACC, UBS, Y-AMT, KADS et Matrix-LED fonctionnent comme un système interconnecté. S'ajoutent un poids relativement faible, une consommation réduite et un prix attractif. En termes d'efficacité et de convivialité, elle devance de nombreux tourers haut de gamme.